Die Klausel der vorherigen Mediation im Zivilverfahren

Das Bundesgerichtes nimmt zur Frage Stellung, ob in Verträgen eine Mediationsklausel gültig vereinbart werden kann. Die Vereinbarung an sich sei zwar möglich, falls eine Partei das Gericht trotzdem anruft, muss es auf die Klage eintreten. 

Das Bundesgerichtes begründet seinen Entscheid damit, dass Mediation ein freiwilliges Verfahren sei, dass man jederzeit beenden könne. Damit wäre es nicht sinnvoll, wenn ein Gericht auf eine Klage nicht eintreten würde, weil vorher kein Mediationsversuch gemacht worden sei, wenn denn eine Partei dies ablehnt. Zudem könnten sich die Verhältnisse seit der Vertragsunterzeichnung so verändert haben, dass keine Bereitschaft zur Mediation mehr vorhanden ist. Moralisch machen solche Klausel trotzdem Sinn (BGE 4A_132/2019).

La clause de médiation préalable dans les procédures civiles

Le Tribunal fédéral se prononce sur la question de savoir si une clause de médiation peut être valablement convenue dans les contrats. L'accord lui-même est possible, mais si l'une des parties fait néanmoins appel au tribunal, celui-ci doit accepter la demande. 

La Cour suprême fédérale a justifié sa décision en déclarant que la médiation est une procédure volontaire qui peut être interrompue à tout moment. Il ne serait donc pas logique qu'un tribunal n'intervienne pas dans un procès parce qu'aucune tentative de médiation n'a été faite au préalable, si l'une des parties refuse de le faire. En outre, les circonstances peuvent avoir changé depuis la signature du contrat de telle sorte qu'il n'y a plus de volonté de médiation. Moralement, de telles clauses ont toujours un sens (Arrêt 4A_132/2019).

 

Médiations en ligne /Online-Mediationen

Selon la dernière ordonnance du Conseil fédéral, l'obligation de télétravail s'applique à partir du 18 janvier et court en principe jusqu’à fin février. Je tiens à vous informer qu’il est malgré tout possible de mener des médiations durant cette période. Pour respecter les mesures édictées par le Conseil fédéral et éviter autant que possible les contacts directs, je me mets à disposition dès à présent pour l’organisation de séances de médiation par vidéoconférence. Vous pouvez me contacter par courrier électronique à l'adresse info@mediation-freiburg.ch ou par téléphone au 079 758 87 75.

Laut den Anordnungen des Bundesrates besteht ab dem 18. Januar und vorläufig bis Ende Februar eine Homeoffice-Pflicht. Ich möchte Sie darüber informieren, dass auch während dieser Zeit Mediationen durchgeführt werden können. Damit die bundesrätlichen Massnahmen respektiert werden und möglichst keine direkten Kontakte stattfinden, bietet ich ab sofort Mediationsgespräche per Videoconferencing an. Kontaktieren können Sie mich per E-Mail unter info@mediation-freiburg.ch oder telefonisch unter 079 758 87 75.

Kriterien der Obhutszuteilung

Das Bundesgericht hat im Zusammenhang mit der Obhutszuteilung im Trennungs- oder Scheidungsfall  folgende Kriterien entwickelt: Nach der Rechtsprechung hat das Wohl des Kindes Vorrang vor allen anderen Überlegungen, insbesondere vor den Wünschen der Eltern.  Vorab muss die Erziehungsfähigkeit der Eltern geklärt werden. Ist diese bei beiden Elternteilen gegeben, sind vor allem Kleinkinder und grundschulpflichtige Kinder demjenigen Elternteil zuzuteilen, der die Möglichkeit hat und dazu bereit ist, sie persönlich zu betreuen. Erfüllen beide Elternteile diese Voraussetzung ungefähr in gleicher Weise, kann die Stabilität der örtlichen und familiären Verhältnisse ausschlaggebend sein. Schliesslich ist - je nach Alter der Kinder - ihrem eindeutigen Wunsch Rechnung zu tragen. Diesen Kriterien lassen sich die weiteren Gesichtspunkte zuordnen, namentlich die Bereitschaft eines Elternteils, mit dem anderen in Kinderbelangen zusammenzuarbeiten, oder die Forderung, dass eine Zuteilung der Obhut von einer persönlichen Bindung und echter Zuneigung getragen sein sollte (BGE 5A_616/2020).


Arbon, September 2020. (Foto: Katharina Jeger)

Critères pour l'attribution de la garde

Le Tribunal fédéral a élaboré les critères suivants en ce qui concerne l'attribution de la garde en cas de séparation ou de divorce :  Selon la jurisprudence, l'intérêt supérieur de l'enfant prime sur toute autre considération, en particulier les souhaits des parents.  La capacité des parents à élever l'enfant doit d'abord être clarifiée. Si c'est le cas pour les deux parents, les jeunes enfants et les enfants en âge d'aller à l'école primaire en particulier doivent être confiés au parent qui est capable et désireux de s'occuper d'eux personnellement. Si les deux parents remplissent cette condition à peu près de la même manière, la stabilité de la situation locale et familiale peut être déterminante. Enfin, en fonction de l'âge des enfants, il faut tenir compte de leurs souhaits clairs. Ces critères peuvent être combinés avec d'autres aspects, tels que la volonté d'un parent de coopérer avec l'autre pour les questions relatives aux enfants, ou l'exigence que l'attribution des soins soit basée sur un lien personnel et une affection véritable (Arrêt 5A_616/2020).

 

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